RARETÉ & ABONDANCE
Les Premiers Peuples de cette terre savaient et comprenaient très bien comment les cycles de vie des animaux quadrupèdes s'influençaient les uns aux autres. Les longues lignes qui parcourent l’oeuvre représentent les liens entre tout et, tout le reste. L’exemple d’une telle paire étroitement liée est le lynx (pizheu) et le lièvre (waboose). Sur la pièce, on aperçoit ces deux êtres qui entourent un grand cercle, Terre-Mère. Au centre de la terre, le lac et le rivage boisé représentent la nature sauvage où résident le lynx et le lièvre. En dessous, à gauche de l'eau, il y a sept courtes lignes de hauteurs décroissantes. Celles-ci représentent le cycle de sept ans de la nature « d'expansion et de récession » de la population du lièvre qui, à son tour, détermine le nombre de lynx puisqu'ils dépendent du lièvre comme aliment de base. Lorsqu’il y a beaucoup de lièvres, il y a plus de lynx ; peu de lièvres, moins de lynx. Leurs cycles de population sont un bel exemple de «rareté et d’abondance».
Les Premiers Peuples de cette terre savaient et comprenaient très bien comment les cycles de vie des animaux quadrupèdes s'influençaient les uns aux autres. Les longues lignes qui parcourent l’oeuvre représentent les liens entre tout et, tout le reste. L’exemple d’une telle paire étroitement liée est le lynx (pizheu) et le lièvre (waboose). Sur la pièce, on aperçoit ces deux êtres qui entourent un grand cercle, Terre-Mère. Au centre de la terre, le lac et le rivage boisé représentent la nature sauvage où résident le lynx et le lièvre. En dessous, à gauche de l'eau, il y a sept courtes lignes de hauteurs décroissantes. Celles-ci représentent le cycle de sept ans de la nature « d'expansion et de récession » de la population du lièvre qui, à son tour, détermine le nombre de lynx puisqu'ils dépendent du lièvre comme aliment de base. Lorsqu’il y a beaucoup de lièvres, il y a plus de lynx ; peu de lièvres, moins de lynx. Leurs cycles de population sont un bel exemple de «rareté et d’abondance».